Technologie de l’information

Tous les articles de la catégorie Technologie de l’information

Les TIC et le site CEFRIO

Publié 31 octobre 2011 par ginettelavigne

Le site CEFRIO est un incontournable si les technologies de l’information et des communications (TIC) vous intéressent. En plus du site Web http://www.cefrio.qc.ca/index.php?id=31, il y a le blogue http://blogue.cefrio.qc.ca/.

Voici quelques extraits et liens pour connaître et apprécier ces sites :

http://www.cefrio.qc.ca/le-cefrio/notre-mission/

Le CEFRIO est le centre facilitant la recherche et l’innovation dans les organisations, à l’aide des technologies de l’information et de la communication (TIC). Il regroupe plus de 150 membres universitaires, industriels et gouvernementaux ainsi que 60 chercheurs associés
et invités
qui œuvrent au service de l’innovation sociale et organisationnelle. Les activités du CEFRIO sont financées à près de 64 % par ses propres projets et à 36 % par le ministère du Développement économique, de l’Innovation et de l’Exportation, son principal partenaire financier.

Le CEFRIO poursuit la mission suivante, celle de contribuer à faire du Québec une société numérique, grâce à l’usage des technologies comme levier de l’innovation sociale et organisationnelle.

Depuis sa création, en 1987, le CEFRIO a réalisé plus de 400 projets d’une valeur totale de 62 millions de dollars.

Téléchargez la brochure corporative du CEFRIO et son plus récent rapport annuel.

CHAMPS D’ACTION

http://www.cefrio.qc.ca/publications/

Dans une optique de toujours fournir une information de pointe en matière de technologies de l’information et d’aider ainsi les décideurs à effectuer de meilleurs choix, le CEFRIO réalise annuellement plusieurs publications. Ces dernières prennent diverses formes, allant des faits saillants d’une enquête au magazine destiné aux dirigeants désireux d’adopter des solutions technologiques qui aideront leur entreprise à mieux performer et à se démarquer en passant par des rapports dévoilant les principales conclusions d’un projet ou encore des bulletins de veille stratégique dans les champs d’action du CEFRIO.

PUBLICATIONS

Génération
A – Des aînés branchés et de plus en plus compétents avec les TIC

 Projet école éloignée en réseau

Génération C : quatre fascicules sur les « C » en tant que citoyens, travailleurs,
consommateurs et étudiants.

Comprendre l’innovation à l’aide des technologies de l’information et des communications (TIC)

L’intégration de l’ordinateur dans la formation de base offerte en milieu de travail

 Gérer les connaissances stratégiques dans des entreprises manufacturières de la
Montérégie

NetGouv citoyens

NETendances 2011 – Évolution de l’utilisation d’Internet au Québec

 

http://www.cefrio.qc.ca/veille-strategique/

Par nos sondages, nos grandes études récurrentes et notre veille systématique, nous restons branchés sur le monde et ses meilleures pratiques pour vous permettre d’optimiser votre organisation et prendre des décisions stratégiques éclairées.

VEILLE STRATÉGIQUE

Développement durable

La stratégie américaine de gestion des déchets électroniques

Développement régional

50 indicateurs numériques pour comparer le monde d’aujourd’hui

Éducation

Éducation et TIC en Afrique : eLearning Africa 2011.

Entreprises et TIC

Consumérisation : l’exemple de Ford

Formation

Les TIC comme outils au service de la formation professionnelle

Gestion des connaissances

Les travailleurs du savoir et le travail sur la connaissance

Gouvernement en ligne

La crise : une opportunité pour le gouvernement électronique

Mobilité

Les nouveaux usages mobiles pour le gouvernement

Plan numérique

Le cercle vertueux entre contenus, infrastructures et prix d’Internet

Santé

Succès et défis de la télésanté au Canada

Statistiques Internet

Les britanniques s’adonnent au mobile à haute vitesse

 

http://www.cefrio.qc.ca/projets/

Le CEFRIO développe des projets d’enquête, de recherche et d’expérimentation qui touchent l’ensemble des secteurs de l’économie québécoise tant privé que public.

Dans un souci de constamment innover, la majorité de ces projets sont réalisés en partenariat avec ses membres et son réseau de chercheurs. Nous réunissons alors autour d’un même sujet une équipe de recherche multidisciplinaire, des représentants d’entreprises privées et des
membres du gouvernement. Le sujet est ainsi scruté sous ses multiples facettes
et analysé dans son ensemble.

Pour consulter la liste complète de nos projets cliquez
ici
.

http://www.cefrio.qc.ca/salle-de-presse/communiques/

SALLE DE PRESSE

2010-10-13 – Les médias sociaux explosent
au Québec
2010-10-08 – Une solution
viable pour les petites écoles du Québec
2010-09-28 – Une
grille d’aide à la gestion des connaissances pour les organisations
québécoises
2010-08-24 – Le CEFRIO
teste une nouvelle approche de services aux aînés
2010-08-04 – Indice
du commerce électronique au Québec – Hausse de 21 % du nombre de
cyberacheteurs au 2e trimestre de 2010
2010-06-17 – Le
CEFRIO : un acteur de premier plan pour favoriser l’innovation sociale
2010-04-21 – Indice
du commerce électronique au Québec – Progression des achats en ligne de 30 %
au premier trimestre 2010
2010-04-07 – Enquête
NETendances 2009 – Les Québécois passent à la mobilité « intelligente »
2010-03-31 – INVITATION
AUX MÉDIAS – Conférence de presse Sondage NETendances 2009
2010-03-22 – Indice
du commerce électronique au Québec – Février : les dépenses en ligne
demeurent en hausse

http://blogue.cefrio.qc.ca/

BLOGUE

Comprendre
l’innovation à l’aide des TIC

31 octobre 2011 par Louis-Pierre Légaré

Dans le cadre de son projet sur l’Indice d’innovation par les TIC, le CEFRIO publie un rapport de recherche intitulé « Comprendre l’innovation à l’aide des technologies de l’information et des communications », qui est le fruit d’études de cas réalisées depuis un an auprès d’une douzaine d’entreprises privées et d’organisations du secteur public qui ont su remarquablement innover par de nouveaux usages des TIC.

Les résultats soulignent que pour renforcer leur capacité d’innovation et maximiser la rentabilité de leurs investissements, les organisations doivent jouer à la fois sur les trois facteurs fondamentaux que sont l’espace, le temps et la matérialité. Dans un univers numérique en pleine mutation, il importe également que les entreprises misent sur les trois dimensions qui transforment les marchés soit: la taille des marchés, l’interconnexion ainsi que la richesse et la diversité des contenus. Enfin, les dirigeants doivent aussi maitriser le degré d’ouverture de leur processus d’innovation, et faire preuve de tolérance au risque.

Pour Benoit Aubert, Patrick Cohendet et Benoît Montreuil, les
chercheurs associés au projet, il est possible pour toute organisation de tirer
parti des TIC pour innover. Les entreprises et les organisations doivent
cependant bien choisir leurs investissements en fonction de la situation du marché mais aussi des besoins de l’organisation pour accueillir cette innovation.

Cette étude, publiée simultanément par le Centre sur la productivité et la prospérité des HEC Montréal, a été rendu possible grâce à la collaboration de DMR, du ministère des Finances du Québec, du Conseil du Trésor du Québec, du ministère du Développement économique, de l’Innovation et de l’Exportation du Québec et d’Industrie Canada.

 

Mots-clés: entreprises et TIC, innovation

Publié dans PME et associations sectorielles, entreprises et TIC, général, innovation | Aucun commentaire »

 

AUTRES ARTICLES

 

Le CEFRIO, fier partenaire du webcom 2011 !

27 octobre 2011 par Julia Gaudreault-Perron

Mots-clés: citoyens, événement, gouvernement en
ligne
, innovation, TI, Web 2.0

Publié dans gouvernement en ligne, général | Aucun
commentaire »

 

24,2 % de cyberacheteurs chez les adultes québécois en septembre 2011

27 octobre 2011 par Melanie Fontaine

Mots-clés: achats en ligne, cyberacheteur, Indice du commerce électronique

Publié dans commerce électronique, général | Aucun commentaire »

 

Le divertissement « branché » au Québec : où en sommes-nous?

26 octobre 2011 par Melanie Fontaine

Mots-clés: divertissement en ligne, enquête, NETendances, statistiques
Internet

Publié dans Enquêtes, statistiques Internet| Aucun commentaire »

 

La webtélé prend son envol au Québec

26 octobre 2011 par Claire Bourget

Publié dans Enquêtes, général, statistiques Internet
| Aucun commentaire »

« Articles plus anciens

CATÉGORIES DU BLOGUE

 

Technologie de l’information et de la communication

Publié 31 août 2011 par ginettelavigne

Étant diplômée en technologie de l’information je suis intéressée par ce sujet. Il faut distinguer  les TIC, les NTIC et ICT puis les TICE. Des exemples concrets et le marché de l’emploi nous informent sur l’usage tangible de ces technologies.

Voici des liens utiles pour s’y retrouver dans tout ça :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Technologies_de_l’information_et_de_la_communication

Technologies de l’information et de la communication

Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre.

Pour les articles homonymes, voir TIC et ICT.

Les notions de technologies de l’information et de la communication (TIC) et de nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC) (en anglais, Information and communication technologies, ICT) regroupent les techniques utilisées dans le traitement et la transmission des informations, principalement de l’informatique, de l’Internet et des télécommunications.
Par extension, elles désignent leur secteur d’activité économique. Cette définition des TIC positionne cette industrie comme support de l’industrie du contenu numérique.
En ce qui concerne les NTIC, le terme tend à qualifier plus particulièrement les problématiques résultantes de l’intégration de ces technologies au sein des systèmes institutionnels, recouvrant notamment les produits, les pratiques et les procédés potentiellement générés par cette intégration.

http://www.ic.gc.ca/eic/site/ict-tic.nsf/fra/h_it00000.html

Technologie de l’information et des communications (TIC)

Découvrez la faculté d’innovation canadienne

Le Canada est sur le point de connaître une révolution dans le domaine de la technologie de pointe. Nous avons instauré une culture de l’innovation dans ce pays — grâce à nos gens, nos connaissances et nos possibilités. Si vous envisagez de faire un investissement, un achat, une vente ou d’établir un partenariat — pensez d’abord au Canada.

EXEMPLES :

http://www.oqlf.gouv.qc.ca/ressources/ti/index.html

Nouveautés dans les technologies de l’information

Lexique français-anglais / anglais-français d’Adobe Flash CS5

Le Banc d’évaluation technolinguistique (Bétel), qui a été mis sur pied par l’Office québécois de la langue française, a compilé Le lexique français-anglais / anglais-français d’Adobe Flash CS5, un logiciel de création de contenus interactifs multiplateformes largement utilisé par les entreprises du Québec. Le Bétel présente dans des tableaux tous les menus et les sous-menus de ce logiciel avec une entrée en français et sa correspondance en anglais, ainsi qu’une entrée en anglais avec sa correspondance en français. Enfin, un tableau récapitulatif et cumulatif par ordre alphabétique permet de retrouver facilement la correspondance d’un élément du menu.

Ce lexique servira à faciliter la migration de la version anglaise vers la version française et permettra ainsi aux entreprises de se conformer aux exigences de la Charte de la langue française.

La bascule linguistique sur un poste de travail Linux Ubuntu 10.4

Dans un environnement graphique, il est facile et rapide de changer la langue de l’interface du système d’exploitation Linux Ubuntu version 10.4 et subséquente. En effet, de par sa nature, Ubuntu est multilingue et son interface est disponible dans de nombreuses langues.

Suivez la procédure pour une bascule linguistique vers le français!

Un serveur en français!

La francisation des technologies de l’information revêt plusieurs dimensions. D’abord, celle des systèmes d’exploitation et des applications de bureau, puis celle des serveurs et des services réseau. Cette dernière est un domaine qui se révèle beaucoup plus complexe et plus long à franciser.

C’est pourquoi l’Office québécois de la langue française (OQLF) a mené, depuis 2003, des études sur les serveurs MS Windows et Linux. À cet égard, l’OQLF, au moyen de son Banc d’évaluation technolinguistique (Bétel), a mandaté la firme Rocksoft (partenaire certifié Or de Microsoft) pour faire le point sur l’état du français dans la plus récente version du système d’exploitation MS Windows Server 2008 R2. Dans cette étude intitulée MS Windows Server 2008 en français, une analyse vise à comparer la version française et la version anglaise, et à établir la viabilité de l’utilisation de la version française au Québec. De plus, pour faciliter l’adoption de la version française, l’étude propose des guides de migration d’Active Directory et de Microsoft Exchange Server 2010.

Un système de gestion de contenu adapté au Québec

TYPO3 est un système de gestion de contenu (SGC) à code source libre très populaire en Europe et, depuis maintenant plusieurs années, au Québec. L’Office québécois de la langue française en a analysé la version française et a décidé de travailler à son amélioration, avec l’aide de l’entreprise Infoglobe. La terminologie a été révisée et plusieurs extensions ont été traduites en français.

Les résultats de ces travaux sont en ligne dans un site récent, et la première version française peut y être téléchargée. Vous êtes invité à découvrir cette première traduction de TYPO3 adaptée au Québec et à y participer!

Etc.

http://www.it-careers.ca/index-fr.htm

Technologies de l’Information au Canada

La pénurie de professionnels des technologies de l’information a été constatée par de nombreux spécialistes des TI. Aussi il est temps de fournir aux employeurs et aux chercheurs d’emploi un moyen simple et efficace pour entrer en contact les uns avec les autres.


IT Careers Canada est fier d’offrir à ses visiteurs plusieurs services qui leur seront très utiles. A l’origine, IT Careers Canada était un simple annuaire de compagnies oeuvrant dans les technologies de l’information. Tout récemment, deux nouveaux services se sont ajoutés : une liste d’emplois disponibles et une liste de professionnels qui sont prêt à être embaucher (en anglais seulement pour l’instant). La principale caractéristique de ces deux listes est la simplicité d’utilisation. IT Careers Canada vous invite, employeurs et chercheurs d’emploi, à les utiliser pour vous rendre compte de leur efficacité.

Employeurs

La liste d’emplois offert par IT Careers Canada vous permet de publier vos offres. Cette liste est mise à jour quotidiennement et elle est regardée par un nombre grandissant de spécialistes des technologies de l’information qui sont en recherche d’emploi.
Pourquoi ?
La liste d’emplois offert par IT Careers Canada est dediée exclusivement aux technologies de l’information et non à une diversité d’emplois comme on peut retrouver sur certaines listes bien trop complexes. Sur IT Careers Canada, seul le marché de l’emploi au Canada est visé. Remplissez le formulaire sur le site et votre offre sera publiée dans les deux prochains jours ouvrables.

Consultez la liste de professionnels, qui sont prêt à être embaucher (en anglais seulement pour l’instant) et identifiez le candidat qu’il vous faut en lisant son résumé de compétences. Ensuite, contactez IT Careers Canada et le candidat vous fera parvenir son curriculum vitae dans les heures qui suivent. Plus besoin de consulter des répertoires de professionnels, complexes qui ont tant d’options qu’il vous font manquer le candidat qui pourrait apporter une valeur ajoutée à votre compagnie.

Votre compagnie est-elle listée dans l’annuaire de IT Careers Canada ?
Si non, n’hésitez pas à contacter IT Careers Canada pour être ajouté.

Chercheurs d’emploi

De nombreuses compagnies des technologies de l’information promettent à leurs employés une carrière évolutive avec des possibilités d’accroître leurs connaissances professionnelles afin de rester compétitif sur le marché. Quelque soit le support qu’une compagnie procure pour améliorer les compétences professionnelles, les employés des TI doivent comprendre que c’est leur propre carrière et leur responsabilité de s’en occuper. Très peu d’emplois sont acquis au travers des listes d’emplois, trop complexes bien souvent, disponibles sur Internet.

Consultez la liste des emplois offerts sur IT Career Canada, repérez les opportunités qui vous conviennent. Ensuite contactez directement la personne responsable de cette offre. Aucun intermédiaire entre vous et l’employeur concerné. De plus vous n’avez pas besoin d’inscription préparatoire sur IT Career Canada pour proposer votre candidature.

La liste de professionnels, qui sont prêt à être embaucher (en anglais seulement pour l’instant) proposée par IT Careers Canada vous permet de publier votre résumé de compétences. Ce résumé technique de vos compétences en TI est un document efficace qui permet d’identifier au plus vite vos connaissances. Aux yeux des recruteurs, ces compétences vont être visible rapidement et peuvent ouvrir la porte à un premier contact.
Remplissez le formulaire sur le site et votre résumé de compétences sera publié dans les deux prochains jours ouvrables.

IT Careers Canada vous permet également de faire des recherches au travers de l’annuaire des compagnies du domaine des technologies de l’information, chacune étant présentée avec une brève description et des liens vers leur site internet et leur page « carrière ». Des recherches par ville sont également possibles.

En esperant que vous apprécierez votre visite sur le site IT Careers Canada. Si vous avez des questions ou besoin d’aide, n’hésitez pas à utiliser le formulaire pour nous contacter.

Publications Canadiennes en TI

Direction informatique, le journal des technologies de l’information présente des analyses en profondeur et de reportages détaillées sur les dernières tendances et les innovations de l’industrie des technologies de l’information.

http://www.technocompetences.qc.ca/

TECHNOCompétences est le Comité sectoriel de main d’œuvre en technologies de l’information et des communications (TIC). En tant qu’organisme de concertation, son rôle est de soutenir et de promouvoir le développement de la main-d’œuvre québécoise en TIC afin que son expertise soit reconnue mondialement.

ACTUALITÉS

EN VEDETTE

Recherches Google associées à technologie de l’information

technologie de l’information définition

technologie de l’information et de la communication

technologie de l’information et de la communication définition

ti technologie de l’information

technologie de l’information et de la communication pour l’enseignement

nouvelles technologie de l’information et de la communication

technologie de l’information et de la communication pdf

les nouvelles technologies de l information

http://www.actualites-news-environnement.com/19871-Technologies-information-communication-TIC-environnement-climat.html

Développement durable

Développement Durable – Achats responsables – PED

Technologies de l’information et de la communication (TIC), impacts sur l’environnement et le climat 11/03/2009 18:45 (Par Pierre MELQUIOT)
Technologies de l’information et de la communication (TIC), impacts sur l’enviro
Technologies de l’information et de la communication (TIC), impacts sur l’environnement et le climat. Les technologies de l’information et de la communication (TIC) ont un apport positif pour la réduction des émissions de gaz à effet de serre, en permettant d’économiser 1 à 4 fois leurs propres émissions sur le reste de l’économie. Pour autant, la consommation d’énergie des TIC atteint aujourd’hui plus de 13 % de la consommation d’électricité en France.

Jean-Louis Borloo et Christine Lagarde reçoivent le rapport sur les technologies de l’information et le développement durable, qui proposent des pistes de réflexion sur le rôle des technologies de l’information et de la communication (TIC) dans la lutte contre le changement du climat mais aussi leur impact sur l’environnement.

Jean-Louis Borloo et Christine Lagarde ont souhaité en avril 2008 disposer d’une évaluation des impacts sur l’environnement des technologies de l’information et de la communication (TIC), et de leur apport dans la lutte contre le changement climatique.

http://eductice.inrp.fr/EducTice

EducTice : Education, technologies de l’information et de la communication

Par Editeur général – Dernière modification 24/04/2011 18:53
Les recherches sur les TICE constituent un domaine scientifique, qui dépasse de beaucoup le seul développement des applications, des ressources ou des dispositifs. C’est un lieu propice au travail interdisciplinaire, un lieu d’interactions fécondes entre sciences (sciences mathématiques et expérimentales, didactiques des sciences, sciences de l’éducation, psychologie, informatique…). C’est un domaine pour lequel les collaborations entre praticiens et chercheurs sont un atout majeur.

EducTice étudie plus particulièrement l’exploitation des environnements numériques pour développer des démarches d’investigation comme modalités d’apprentissage. Ces démarches concernent bien sûr les enseignements scientifiques, mais, plus largement, la résolution de problèmes et l’étude de situations complexes. EducTice développe ses recherches suivant trois axes (cf. schéma ci-contre).

EducTice est depuis le 1er janvier 2011 une composante de l’équipe mixte d’accueil S2HEP (Sciences et société : historicité, éducation, pratiques), portée par l’Université Lyon 1 et l’Ecole Normale Supérieure de Lyon.

Actes des Journées Scientifiques DIES des 24 et 25 novembre 2010 en ligne

Ressources et travail collectif dans la mise en place des démarches d’investigation dans l’enseignement des sciences

L’usage des TIC dans l’enseignement en 2010

Publié 28 février 2011 par ginettelavigne

Je suis abonnée à la liste de nouvelles VST Actualités « veille.scientifique@ens-lyon.fr » et j’ai trouvé cette ressource d’information des plus actuelles concernant le déploiement des usages des technologies de l’information et des communications (TIC) dans l’enseignement en 2010. Il s’agit d’une vidéo conférence, une entrevue réalisée avec Alain SÉRÉ, inspecteur général de l’Éducation nationale, rapporteur de la Commission e-Educ.

Voir en ligne

Pour visionner la vidéo « enrichie » (chapitrage, diaporama synchronisé) dans une nouvelle fenêtre

Flash video player

Durée : 24 min 50 sec

Alain Séré dresse un état des lieux des usages des technologies numériques dans l’enseignement en 2010 et préconise ses développements futurs. Le développement et la conduite de projets numériques figurent parmi les compétences à développer chez les cadres du système éducatif.

Pour un résumé de l’entrevue

À télécharger Questions-réponses de l’interview (pdf, 122 Ko) ou lire directement

Le déploiement des usages des TIC dans l’enseignement en 2010

Alain SÉRÉ. Inspecteur général de l’Éducation nationale, rapporteur de la Commission e-Educ

Paris – Clemi – 7 juillet 2010

Alain Séré dresse un état des lieux des usages des technologies numériques dans l’enseignement en 2010 et préconise ses développements futurs. Le développement et la conduite de projets numériques figurent parmi les compétences à développer chez les cadres du système éducatif.

Q1. En 2010, quel état des lieux du déploiement des usages des technologies numériques faites-vous ? (1′ 59 »)

R1. Ce développement est multiforme, les collectivités prennent beaucoup d’initiatives, l’État fait une priorité du développement du numérique. Le développement du ‘numérique’ est inéluctable, mais la question du pilotage de l’ensemble reste posée.

Q2. Comment un personnel d’encadrement doit-il impulser le déploiement des usages dans l’enseignement ? (2′ 25 »)

R2. Le numérique est un ensemble de ressources qui nécessitent des compétences et ont un impact organisationnel fort. Une politique éducative qui intègre le numérique est une démarche stratégique qui concerne tous les paramètres de l’établissement, donc s’intègre au projet d’établissement.

Q3. Quelles conséquences aura l’inexorable développement des usages sur les missions des enseignants et leur évaluation ? (3′ 35 »)

R3. L’école ‘étendue’ ou ‘augmentée’, sans unité de temps, de lieu et d’action transformera la nature des relations comme dans toute organisation. Mais dans l’espace scolaire, le déploiement doit se faire dans une démarche à visée éducative prudente et respectueuse de chacun qui, à terme, doit prendre en compte tous les développements y compris, par exemple, les réseaux sociaux.

Q4. Comment analysez-vous la tension entre usages pédagogiques et sécurité informatique ? En particulier pour les cadres ? (7′ 28 »)

R4. Sur l’aspect matériel, il importe de respecter les conditions préalables de fiabilité, de fourniture d’un environnement immédiatement fonctionnel, stable et sécurisé. Le schéma directeur des ENT (espaces numériques de travail) permet cette sécurité. Ensuite, les règles de conduite constituent un terrain d’apprentissage éducatif, mais les réseaux sociaux et la question de l’identité numérique nécessitent une réflexion encore plus approfondie. Pour un chantier qui concerne potentiellement 30 millions d’utilisateurs, il reste des questions à résoudre comme la durée, la mémoire, les droits de la personne. Les cadres doivent être conscients de ces questions et être en capacité d’expliquer, de convaincre malgré ces difficultés.

5. Une culture numérique professionnelle des cadres existe-t-elle ? Comment la définiriez-vous ? Vers quoi devrait-elle évoluer ? (9′ 23 »)

R5. Les transformations sont rapides, l’encadrement utilise ces technologies et sa compétence s’accroit. Le numérique aide à faire face à une charge de travail croissante qui demande de la productivité, de l’organisation. Par ailleurs il serait souhaitable que les cadres puissent faire de la veille technologique, projeter et adapter leur mode de travail, comprendre les effets des technologies, utiliser la communication et les réseaux mais sans négliger le contact, car la maîtrise de la relation humaine reste fondamentale. Le développement et la conduite de projets numériques figurent parmi les compétences à développer chez les cadres du système éducatif.

http://www.esen.education.fr/fileadmin/user_upload/Modules/Ressources/Conferences/flash/10-11/culture_num/sere/medias/sere_a_culture_num_q-r.pdf

Écouter en ligne

Pour écouter la bande son de la vidéo en ligne, allez sur le site http://www.esen.education.fr/fr/ressources-par-type/conferences-en-ligne/detail-d-une-conference/?idRessource=1133&cHash=15a0501f1f

Télécharger

Pour une consultation nomade de la vidéo ou de la bande son de la vidéo

Flash video – 146.18 Mo

MP3 – 23 Mo

À voir sur le site

Thèmes > Priorités nationales > Culture numérique

Autre entrevue concernant les TIC à l’école

La modernisation de l’école par le numérique 
Jean-Michel FOURGOUS, député des Yvelines,
auteur du rapport « Réussir l’école numérique »
(interview, 26 min 16 sec)

Ce qu’ils en disent

Quatre experts ont accepté de répondre à nos questions (voir interviews ci-dessous) et nous ont proposé quelques définitions pour constituer notre glossaire vidéo, intitulé Diconum (voir ci-contre), pour mieux comprendre les expressions liées à la culture numérique.

Culture des acteurs du système éducatif

Culture numérique des élèves et des enseignants 
Jean-François CERISIER, enseignant-chercheur, directeur du
Département Ingénierie des Médias pour l’Éducation (IME),
université de Poitiers
(interview, 12 min 30 sec)

Approche sociologique
Approche sociologique du concept de culture numérique
Christophe DESHAYES, PDG de Documental, l’observatoire im-pertinent des systèmes d’information 
(interview, 17 min 54 sec)

Culture prospective
L’avènement des réseaux sociaux
David FAYON, expert en technologies numériques
(interview, 13 min 12 sec)

Identité numérique

Louise MERZEAU, maître de conférences en Sciences de
l’information et de la communication, université Paris Ouest Nanterre La Défense

La traçabilité sur internet et ses conséquences en formation
(interview, 24 min 6 sec sec)

Traces et identité numérique
(conférence, 51 min 28 sec)

http://www.esen.education.fr/fr/ressources-par-theme/priorites-nationales-ash-culture-numerique-education-prioritaire-securisation/culture-numerique/

À voir sur le web

Rapport de la mission e-Educ « Pour le développement du numérique à l’école » PDF de 91 pages

Rapport « Réussir l’école numérique » PDF de 326 pages

http://www.education.gouv.fr/cid208/utilisation-des-nouvelles-technologies.html

Utilisation des technologies de l’information et de la communication

L’Éducation nationale contribue au projet d’une société de l’information pour tous. Son rôle est de dispenser à chaque futur citoyen la formation qui lui permettra de faire une utilisation raisonnée des technologies de l’information et de la communication.

Les espaces numériques de travail (E.N.T.)

Le cahier de textes numérique

Une certification à chaque niveau d’enseignement

Une formation accrue des enseignants

La sécurité des mineurs sur internet

Textes de référence

Médias sociaux et Michelle Blanc

Publié 30 septembre 2010 par ginettelavigne
 

Michelle Blanc, spécialiste en marketing Internet et commerce électronique, est l’auteure du livre Les médias sociaux 101. Elle est reconnue comme une personne ressource dans les médias conventionnels comme la radio et la télévision mais aussi elle est très active comme conférencière et consultante en plus d’être très présente sur le Web.

 

Sa biographie :

http://www.michelleblanc.com/bio-et-profil-professionnel/

 

Michelle Blanc est l’une des premières titulaires de la M.Sc. Commerce électronique, avec une spécialisation en gestion, au Canada. Elle a de nombreuses publications scientifiques, de recherches, didactiques et de vulgarisation en plus d’animer le blogue michelleblanc.com qui est l’un des coups de cœur de la revue de marketing française Strategies.fr et est classé comme l’un des plus influents blogue francophone mondial selon plusieurs sources et indices différents. Elle est récipiendaire de nombreux honneurs, est auteure de Les médias sociaux 101 et coauteure de Pourquoi Bloguer dans un contexte d’affaires, a été impliquée dans de nombreux mandats d’analyses, de stratégies et de conseil de gestion et de marketing Internet dans un grand éventail de secteurs industriels. Elle fait d’ailleurs partie du groupe des 50 experts canadiens consultés par Industrie Canada afin de déterminer les objectifs et politiques du gouvernement du Canada en matière d’économie numérique pour le marché intérieur ou pour la position canadienne aux forums internationaux comme l’OCDE. À titre de conférencière, madame Blanc a débuté son parcours au Council on e-business innovation du Conference Board of Canada et as par la suite fait de nombreuses conférences ici et ailleurs.

Madame Blanc est aussi cofondatrice et présidente de Yulbiz.org, mouvement international regroupant les gens d’affaires intéressés par les blogues et les blogueurs intéressés par les affaires. Après quatre ans d’existence, Yulbiz est maintenant dans dix villes de sept pays.

 

 

http://www.michelleblanc.com/dans-les-medias/

 

Dans les médias

Michelle Blanc est experte invitée régulièrement à partager son point de vue à différents médias électroniques.

Elle dit : Humblement, je ne tiens plus à jour cette rubrique puisque ça devient trop lourd à gérer. J’ai plutôt créé la catégorie Les médias qui sollicitent mon avis, ou vous retrouverez les billets qui parlent de certaines de mes participations médias.

 

 

Son livre : Les médias sociaux 101

Critique du livre par Josianne Massé

http://blogosphere.branchez-vous.com/2010/09/les_medias_sociaux_101_de_mich.html

Mercredi 22 septembre 2010 à 7H45

 

Selon Josianne, le livre est davantage un outil promotionnel du blogue et des conférences de Michelle Blanc qu’un outil permettant l’affranchissement de néophytes dans l’univers des réseaux sociaux.  Mais elle ajoute : Je ne vous recommande donc pas l’achat du livre Les médias sociaux 101, mais je vous invite plutôt à lire le blogue de Michelle Blanc en entier ou à vous inscrire à l’une de ses conférences, là où Michelle Blanc excelle.

Son blogue : http://www.michelleblanc.com/

 

Catégories

À titre de conférencière

Bibitte Électrique

Blogroll

Blogue

Blogues d’affaires

Code-source libre

Collaborateurs de ce blogue

Commerce électronique : articles

Commerce électronique: emplois

Commerce électronique: mythes

Commerce de détail en ligne

Démocratie en ligne

Economie des affaires électroniques

Edito sans question

Etudes en commerce électroniques

Facebook

géolocalisation

Gouvernement électronique

Innovation

Jean-François Poirier M.Sc.

Les médias sociaux 101

Marketing 2.0

Marketing des univers virtuels

Marketing Internet

marketing mobile

Médias auxquels je collabore

Médias qui sollicitent mes avis

Médias sociaux

Medias et Internet

Moteurs de recherche et référencement de sites Web

Nathalie Petrowski

Outils et références

Personnel et peut-être même hors sujet

politique et internet

Référents

Recrutement et ressources humaines Internet

Relations publiques Internet

Second Life

Statistiques de ce blogue

statistiques des affaires électroniques

Stratégies de commerce électronique

Technologies Internet

Tourisme en ligne

Twitter ou le microblogging

Veille stratégique et Internet

Vote électronique

Web 2.0

Web mobile

Yulbiz

Yulblog

TICE : Intégration du Web 2.0 à la classe

Publié 31 mars 2010 par ginettelavigne

 

Sur le site lewebpedagogique.com, j’ai trouvé trois articles  de Cédric Lémery qui résument bien : Comment appliquer simplement et de façon concrète quelques notions du Web 2.0 en classe? Premièrement,  Cédric nous montre comment s’identifier de façon numérique sur le Web et utiliser les applications Google en éducation? Deuxièmement, il donne des moyens et outils technologiques pour partager des documents sur Internet comme des fichiers, photos, vidéos, présentations Powerpoint, listes de liens Web. Puis finalement, dans la dernière partie, il explique comment travailler en collaboration sur le Net  à l’aide d’un forum, d’un blog ou d’un wiki.

 

Voici en presque totalité l’intégrale de ces 3 articles :

 

http://lewebpedagogique.com/tice/integrer-le-web-20-a-la-classe-i/

1. Intégrer le Web 2.0 à la classe (I) : identification et vie scolaire

Collaborer, TICE, outils pour les cours, Web 2.0, être nomade Cédric 28 mars 2007, 10:43

Traditionnellement, la relation pédagogique utilise deux supports de communication : l’oralité de la relation prof-élève en classe et l’écrit de la copie. A l’ère du numérique, les nouveaux modes de communications viennent enrichir cette relation en apportant de nombreux supports. Ceux-ci attirent généralement l’engouement des élèves, étant plus proche de leur modes habituels de communication (voir l’enquête réalisée par IPSOS : La moitié des jeunes internautes ont créé un blog). Les Espaces Numériques de Travail (ENT) ou “cartable électronique” ont pour but de fournir le cadre technique nécessaire à cet enrichissement. Ils proposent généralement

       un dispositif d’identification,

       des outils de gestion de la vie scolaire,

       des ressources mises à disposition,

       des lieux d’échanges,

       des outils de travail collaboratif (dans le meilleur des cas).

[…]

L’identification

Pour utiliser n’importe quel service du Web 2.0, il est nécessaire d’avoir une adresse Internet. Il existe de nombreuses solutions pour se procurer une adresse Internet gratuitement. Vu le taux d’utilisation de MSN, les élèves ont généralement une adresse mail personnelle, du type Hotmail mais il existe également Yahoo, Google et bien d’autres. L’avantage de Yahoo et Google est l’accès automatique à certains utilitaires (agenda, groupes et même éditeur de texte, de feuille de calcul pour Google). Un autre avantage de ces boîtes aux lettres gratuites est la possibilité de les utiliser comme stockage de documents sur le Web, donc accessible de partout (à la maison, au lycée, en voyage…). Hotmail et Yahoo propose 1 Go et Google propose quasiment 3 Go ! À noter, l’émergence de nouveaux services comme OpenID qui permettent de n’utiliser qu’un seul identifiant pour accéder aux services du Web 2.0. La version Française de ce service est encore en développement mais la version anglaise offre l’accès à de nombreux sites.

 

Mais s’identifier ça n’est pas uniquement accéder à des services, c’est également gérer la façon dont on est perçu. Il existe pour cela des services de gestion de son identité numérique. Nos élèves utilisent généralement Myspace. Ce service relève plus du domaine du personnel et je ne pense pas qu’il soit exploitable en classe. Dans un cadre plus “institutionnel”, on préfèrera des services comme ziki ou OpenID (en anglais).

Vie scolaire

Pour la gestion d’un agenda, il y a Google qui est assez simple d’utilisation et relié à la messagerie gratuite. Cet agenda offre de nombreuses fonctionnalités de partage qui permettent facilement à un enseignant de diffuser de l’information. Pour se créer un cahier de texte collaboratif, il y a bien entendu le blog collaboratif que l’on peut ouvrir sur lewebpedagogique.

À noter que pour un établissement scolaire, Google propose un ensemble d’outils : Google Apps Education.

 

http://lewebpedagogique.com/tice/integrer-le-web-20-a-la-classe-ii-partager-des-documents/

2. Intégrer le Web 2.0 à la classe (II) : Partager des documents

Collaborer, TICE, outils pour les cours, Web 2.0 Cédric 25 avril 2007, 9:41

Cet article fait suite à l’article “Intégrer le Web 2.0 à la classe (I) : identification et vie scolaire

Après avoir vu comment s’identifier sur le Web et comment partager un agenda ou un cahier de texte, voyons comment partager des documents pour un groupe d’utilisateur.

Dans la sphère du Web 2.0, il existe de très très nombreuses solutions pour partager des documents. Forcément puisque le Web 2.0 c’est justement le partage de document… C’est le type de document que l’on veut partager qui va piloter le choix du service utilisé. La liste de sites “web2.0″ qui suit n’a pas vocation à être exhaustive. Ce sont simplement des services qui me semblent suffisamment simples d’utilisation pour être utilisés avec une classe.

       Des fichiers : pour partager des fichiers (Word, PDF, photos, en fait n’importe quel fichier), il existe le service box.net qui a déjà été présenté ici. Fort de son succès, cet espace de disque dur en ligne a subi un petit lifting et s’est vu agrémenter d’encore plus de fonctionnalités. C’est donc 1 Go de données qui sont stockable et partageable. L’espace idéal pour collecter les données d’un TP, diffuser des fiches de cours en PDF, des photos, etc. Mais au fait comment fait-on pour créer des PDF ? On consulte ce billet.

       des photos, des vidéos : flickr est un service en ligne qui permet de stocker et partager des photos. Il est accessible à l’aide d’un compte Yahoo. En plus des fonctionnalités usuelles des albums photos (dates, commentaires, etc.), ce service propose deux fonctions qui me semblent particulièrement intéressantes : il est possible de localiser la prise de vue et d’envoyer les photos par mail. Flickr peut donc être naturellement utilisé lors d’un voyage scolaire pour élaborer un portfolio par exemple. Hormis ces fonctionnalités, flickr présente l’avantage de ne pas avoir à télécharger de logiciel pour la mise en ligne de photos. Tout se passe directement à partir du navigateur Internet. Pour les allergiques à l’anglais, il y a Picasa (basé sur un compte Google) qui fournit un bon support d’album photo en ligne. Pour trouver et partager des vidéos, il y a bien entendu Dailymotion (en Français) et YouTube que nos élèves connaissent bien. On y trouve tout type de vidéos (des vidéos amateurs à des extraits d’émission, de reportages) malheureusement difficilement exploitables en cours pour des raisons de droit d’auteurs. Par contre la facilité avec laquelle il est possible de poster des vidéos permet d’envisager la diffusion de vidéos d’expériences (pour les SVT & les SPC) par ce biais.

       des présentations Powerpoint : SlideShare offre la possibilité de convertir et de stocker une présentation Powerpoint en flash, ce qui la rend directement lisible depuis un navigateur. Ce service a déjà été présenté sur ce billet. Depuis, SlideShare a ajouté la possibilité de télécharger la présentation.

       des listes de liens Internet : Les sites de social bookmaking permettent de diffuser très facilement des listes de liens Internet. J’ai déjà eu l’occasion de présenter ce concept ici. En classe, ces sites peuvent être utilisés soit pour diffuser une liste de sites par l’enseignant (à ce moment seul l’enseignant connait le mot de passe puisqu’il n’est pas nécessaire de la communiquer pour voir les liens d’une personne), soit pour mutualiser les fruits d’une recherche par les élèves sur Internet, en ouvrant un compte pour la classe.

Vous voilà prêt maintenant à diffuser de nombreuses sources d’informations auprès de votre classe. Mais comment combiner toutes ses informations ? En créant un blog sur le webpedagogique bien sûr… La plupart des services mentionnés ci-dessus offrent la possibilité d’être inclus dans un billet sur un blog (par exemple, ce billet inclue une présentation Powerpoint diffusée sur SlideShare, et ce billet inclue une vidéo de YouTube).

 

http://lewebpedagogique.com/tice/integrer-le-web-20-a-la-classe-iii-collaborer/

3. Intégrer le Web 2.0 à la classe (III) : créer à plusieurs

Collaborer, TICE, outils pour les cours, Web 2.0 Cédric 16 mai 2007, 10:34

Dans les articles précédents, nous avons vu comment gérer son identité numérique sur la toile et comment partager des documents. Voyons maintenant le cœur du Web 2.0 : comment travailler de manière collaborative ?

Échanger des idées

Échanger des idées se fait généralement par le biais d’un forum (ou groupe de discussion). Dans un forum, chacun écrit à l’ensemble de la communauté. Les discussions sont archivées et selon la place disponible, c’est également un moyen de stocker des informations. Le forum peut être utilisé comme espace de débat (initié par l’enseignant) au sein d’une classe, comme espace de communication prof-élèves mais il peut également être utilisé comme espace de communication entre élèves pour la résolution de problèmes, conseils, etc. Bien entendu, il est important de baliser cet espace par la mise en place d’une charte d’utilisation.

Comment mettre en place un forum ? Il existe de nombreuses solutions gratuites sur Internet. Les groupes de discussion de Yahoo et de Google sont très simple à mettre en place. Il y a également MSN que les élèves connaissent bien. Sur ces sites, il est possible de créer un groupe public ou privé. Dans l’idée de recréer une dynamique analogue à celle de la classe, il est préférable de choisir l’option “privé”. D’autant que les élèves n’ont pas forcément conscience de l’impact du “verbe” et des dérapages sont toujours à envisager (message à caractère diffamatoire, débats houleux, etc.). En mode privé, de tels dérapages se régulent facilement et sont l’occasion de pratiquer un peu d’ECJS.

Publier des travaux d’élèves

Le blog est un outil très utilisé par les élèves à titre personnel (voir la galaxie skyblog : plus de 8 millions de blogs créés) mais encore trop peu utilisé dans un cadre pédagogique. Pourtant, ils permettent aux élèves de développer un style personnel d’écriture et ils favorisent le débat. Un exemple de réalisation ? Les carnets des élèves de l’école de Rochebelle au québec. Comment mettre en place un tel outil ? Claire sur le blog usages des TICE propose un billet sur la procédure à suivre pour ouvrir un blog sur lewebpedagogique.

Produire des documents à plusieurs

J’ai déjà eu l’occasion de présenter les sites wiki (voir wiki kesako ?) qui sont une forme collaborative de blogs.

Mais le Web 2.0 propose d’autres outils de travail collaboratif très utiles qui présentent le double avantage d’une initiation à une nouvelle forme de travail tout en ne nécessitant aucune installation de nouveaux logiciels : il s’agit des suites bureautiques en ligne comme celles proposées par Google ou ajax13. Ces suites proposent des applications lisibles directement dans votre navigateur préféré qui permettent de traiter des fichiers Microsoft office ou open office. La suite de Google est particulièrement intéressante puisqu’elle permet d’inviter par mail d’autres utilisateurs à modifier un document.

Ces outils se révèlent très utile dans une conduite de projet à plusieurs (élaboration d’un TPE, d’un exposé, etc.). Ils permettent de travailler sur une version unique du document (en ligne donc on peut le retrouver partout où il y a Internet), de ne pas se soucier de la compatibilité entre plateforme (PC ou Mac), ni de la version de logiciel (open office, Microsoft).

 

 

Pour d’autres informations et des liens très utiles sur le Web 2.0 et les TICE, lire la page Web suivante dans la catégorie COLLABORER :

http://lewebpedagogique.com/tice/category/web-20/collaborer/

 

EXEMPLE :

 

http://www.visiblebody.com/

 

The Visible Body Features

·          Complete, fully interactive, 3D human anatomy model

·          Detailed models of all body systems

·          Dynamic search capability

·          Easy-to-use, 3D controls

·          Seamless compatibility with all the most popular web browsers

 

Argosy’s Visible Body is the most comprehensive human anatomy visualization tool available today.  This entirely Web-delivered application offers an unparalleled understanding of human anatomy.
The Visible Body includes 3D models of over 1,700 anatomical structures, including all major organs and systems of the human body.

*System Requirements

 

 

Et dans la catégorie SCIENCES :

 

http://lewebpedagogique.com/tice/sciences-le-cours-de-physique-du-futur-par-le-mit/

Voici ce qu’on peut faire en couplant Interactive Physics + un tableau interactif et un vidéoprojecteur…

 

Voir la VIDEO YOUTUBE (en anglais)

 

 

Alors rêvons un peu…
Imaginons que de tels outils se généralisent et que des logiciels adaptés à cet outil (intégrant la reconnaissance de caractère) soient développés : le plan du cours est immédiatement disponible sur le blog du prof, les archives de l’INA sont accessibles en quelques clics, les différents éléments des formules de mathématiques dansent et volent sur le tableau, le portrait d’une personnalité et sa biblio (issue de Wikipedia) apparaissent automatiquement lorsque son nom est mentionné dans le cours…

 

 

Le Web 2.0 et les clionautes

Publié 28 décembre 2009 par ginettelavigne

Cet article démontre ce qu’il est possible de faire en cette fin d’année 2009 avec les TICE, ces Technologies de l’Information et de la Communication en Éducation. Ce site Web « Les clionautes » nous offre un résumé des applications du Web 2.0 avec des exemples concrets de l’utilisation d’outils de travail collaboratif en classe et hors la classe.

 

Qu’est-ce que les clionautes?

 

http://www.clionautes.org/spip.php?article1

 

L’association a pour but la diffusion des nouvelles technologies de l’information et de la communication dans l’enseignement de l’histoire et de la géographie ainsi que la défense et la promotion de l’enseignement de l’histoire, la géographie, l’éducation civique, juridique et sociale.

[…]

Les moyens d’action de l’association sont notamment : la liste de discussion internet "H-Français", la "liste des Clionautes" propriété de l’association Clionautes, la mise en oeuvre d’autres outils télématiques, la participation à des congrès et réunions publiques, les publications, y compris les réalisations multimédia, des actions de coopération internationale ou tout autre moyen tendant à promouvoir les buts fixés par l’association en conformité avec les textes législatifs et réglementaires

 

Cette page Web qui s’intitule « Travail collaboratif en classe et hors la classe – 1 » est une synthèse de nombreuses applications du Web 2.0 en éducation. On y retrouve les éléments suivants :

 

http://www.clionautes.org/spip.php?article2247

 

Travail collaboratif en classe et hors la classe – 1

mercredi 11 février 2009, par Caroline Jouneau-Sion

 

Le travail collaboratif, Qu’est-ce que c’est ?

 

Pour construire une maison ensemble, il y a trois possibilités :

 chacun apporte sa brique et la pose. C’est un travail individuel, vous mettez simplement en commun vos réalisations. C’est la mutualisation.

Dessin de Soph’ © WebLettres

 

 construire votre maison en vous partageant les tâches selon vos goûts et compétences : votre voisin fait des briques et la plomberie, vous maçonnez et vous carrelez, votre cousin s’occupe des ouvertures et fermetures. C’est le travail coopératif.

Votre maison sera magnifique, chacun ayant apporté le meilleur de lui-même.

Dessin de Soph’ © WebLettres

 

 construire votre maison avec votre voisin (et votre cousin) en faisant ensemble les mêmes tâches. Vous échangez vos points de vue, vous apprenez l’un de l’autre. C’est le travail collaboratif.

Votre maison sera magnifique, et chacun d’entre vous aura appris des autres.

Dessin de Soph’ © WebLettres

 

Chacune de ces formes de « travailler ensemble » a ses avantages, en matière de qualité ou de rapidité. Mais le travail collaboratif permet aux participants d’apprendre les uns des autres, d’acquérir de nouvelles compétences.

 

Quels outils pour quelles situations de classe, et hors la classe ?

 

 Les suites bureautiques en ligne

Google Docs ; Thinkfree, Zoho

 >Pour quoi faire ?

  Travailler ensemble sur les mêmes fichiers : partager des fichiers et les modifier, avoir accès à l’historique.

  Donner les tâches, les consignes et récupérer les travaux.

 

 Les wikis

Définition

Un wiki est un autre outil de publication en ligne. Il a comme particularité que chacun de ses pages est potentiellement éditable et modifiable par quiconque (même si cette possibilité peut être limitée).

 

Un wiki est un logiciel qui s’installe sur un serveur (il y en a plusieurs), mais pour les profs et leurs élèves, WikiProf est accessible immédiatement. Wikispace est également en ligne

  rédiger (des exposés, des textes, des pièces de théâtre, des articles, des cours) ensemble

  rédiger des textes argumentatifs

  échanger des informations, des fichiers : ex l’échange de classe

 

 Les blogs

 Définition

Voir le dossier de l’INRP

Un blog est un outil de publication en ligne qui permet de publier des billets qui apparaissent sur la page d’accueil de façon antechronologique.

 Quelques plateformes de blogs

  Le webpedagogique

  Le café pédagogique

  Weblettres

  Blogger

 

 Pour quoi faire ?

Les blogs sont souvent des outils de publication individuelle. Cependant, un blog crée aussi du lien entre les différents acteurs du monde éducatif (profs, parents, élèves et autres) autour du savoir, dans le but commun d’améliorer les savoirs et les compétences des apprenants. C’est donc une forme de travail collaboratif… non ?

 

Des blogs de profs

  lien avec les parents

  Cahier de texte : version minimale ou maximale

  Complément du cours et aussi en lycée

  Carnet de vocabulaire collectif

  Partager ses découvertes

  Réfléchir ensemble

Voir le témoignage de Christelle Guillot

 

Des blogs de classes

  Blogfolio : publier les travaux des élèves

  Blog de voyage Préparation ou récit de voyage

  Blog d’échange : entre correspondants, intergénérationnel, …

  Blogs de projets : club, projet de classe autour de l’écrit

  Des blogs pour résoudre des difficultés particulières : déficients visuels

A lire : Une banque de scenarii de Jean-Paul Moiraud

Une analyse et une revue des usages de Mario Asselin

 

 Le "clavardage" et la visio-conférence

Définition : le clavardage, ou "chat" est le fait d’échanger en direct avec une ou plusieurs personnes par écrit, grâce à un logiciel (MSN, Skype, Gmail video chat etc…). Lorsque la vidéo et le son se joignent à la conversation, on parle de visio conférence.

Skype et MSN messenger le permettent. Il y a aussi des sites de visio conférence comme TokBox qui s’insère dans un billet de blog.

Pour quoi faire ?

Echanger, argumenter, présenter
 échange de classe
 échange d’arguments (récupérer ensuite l’historique du chat)
 formation de pair à pair (entre profs et/ou élèves)
 former aux usages de l’internet :
chatter mais en sécurité !

Un site (canadien) dédié au "clavardage pédagogique"

Ledossier du conseil de l’Europe sur le chat comme outil pédagogique

Un site dédié au clavardage entre profs (en anglais) : TappedIn

 

 Le micro-blogging

Définition : outil de publication sur internet de billets de blog de moins de 140 caractères, sans titre, sans image, avec des liens. Exemples : Twitter et Identi.ca

Comment ça marche ? L’exemple de Twitter

et pour des enseignants ?

(je sais je dessine très mal…)

Pour quoi faire ?
 Être informé
 Partager les informations
 Travailler en réseau
 Diffuser, valoriser.
 créer une communauté de classe, d’école (utiliser alors
http://www.shoutem.com/ exemple http://germinal.shoutem.com

 

 Les communautés en ligne

Il existe des outils qui rassemblent tout ça. Webjam , Ning L’exemple de NING :
 blogs
 forums
 chats
 événements
 outils d’alerte par mail, flux RSS.
 création de groupes
 ouvrir ou fermer la communauté

Pour quoi faire ?
 Communautés de classes ou d’écoles :
Ecole Painlevé à Montpellier
 Communautés de profs ou de formateurs :
Les Clionautes, apprendre2.0, arts plastiques
 Communautés ouvertes :
L’école hors les murs

Autres outils pour animer une communauté en ligne, à installer sur un serveur :
 
Elgg
 
Buddy Press (qui enrichit Word Press de multiples applications)

Mais on pourra aussi penser à Moodle ou Claroline, plus adaptés au cours à distance (e-learning)

Merci à tous mes contacts Twitter pour leur aide : @lyonelkaufmann, @moiraud, @w2YDAvid, @gtouze (blogs et plateforme), @fmeichel, @erdelcroix, @chrism, @Hugobiwan, @gabrielito pour leur démo de l’interactivité de Twitter, et à M. Lévêque depuis Facebook.

Dans la rubrique

  IDD "création d’un cd-rom sur l’Afrique" en 5e : quelques réflexions

  Géo 2de : Etude de cas et tice

  Travailler avec Internet sur le séisme algérien de mai 2003

  Conception d’une interface informatisée favorisant le télé apprentissage de l’histoire

  Innovation pédagogique et technologie en histoire à l’île Maurice

  Ateliers d’été des clionautes : espaces maritimes et portuaires

  villes et ports à travers le programme officiel

  Déprise portuaire et aménagement urbain : New York

  Videoprojecteur en histoire géo educ.civiq.

  videoprojecteur en histoire géo educ.civique

 

 

Kansei, Ingénierie des Arts ou humanisation de la technologie

Publié 31 octobre 2009 par ginettelavigne

C’est un peu par hasard que j’ai découvert sur le Web, en cherchant les nouveautés sur les TI (Technologies de l’Information) et le travail collaboratif, cet engouement pour l’application d’une méthode d’ingénierie japonaise qu’est la création de valeurs Kansei.

 

J’ai dû lire quelques heures avant de trouver assez d’informations pour me faire une idée de ce qu’est l’ingénierie Kansei (prise en compte de l’affect et des émotions dans le design).

 

« L’humanisation de la technologie » consiste à saisir la «, à sa position originelle où elle devrait être technologie » telle quelle,  et à promouvoir le développement en lui-même de cette technologie en se basant sur des normes humaines (Kansei / Design), afin qu’il puisse mieux rendre service au bien-être de l’humanité et de la vie des êtres humains. http://sciencelinks.jp/fr/content/view/756/241/

 

http://docistia.wordpress.com/2008/09/22/nouveautes-techniques-de-lingenieur-5/

3 nouveaux articles dans les volumes Conception et Production des TI ce mois-ci :

 

   1.      Difficulté d’utilisation d’un produit : son évaluation par une approche subjective (Jean-François VAUTIER)

2.      Ingénierie Kansei, ou comment lier affectivité et conception (Pierre LÉVY)

L’intégration de caractéristiques subjectives relatives aux utilisateurs (telles que les émotions ou l’affectivité) est devenue une question majeure et internationale pour le développement de nouvelles techniques de conception de produits. La principale réponse japonaise est l’ingénierie Kansei. Née d’une collaboration active entre les milieux industriels et académiques, cette méthode vise à apporter au concepteur des solutions objectives. Elle a en effet pour but de corréler les impressions de l’utilisateur (émotions, ressenti, affectivité, etc.), appelées « kansei », avec les caractéristiques physiques du produit. Pour cela, elle utilise plusieurs outils (mathématiques et technologiques) qui lui permettent d’atteindre son objectif grâce une série d’étapes successives…
Plus d’infos… (AG2140 / vol. AGC1 / 13 pages)

  3.      Conception d’équipements industriels – Rôle de l’analyse ergonomique du travail dans le retour d’expérience

(Cecilia DE LA GARZA  & Loredana EPIFANI)

 

Il existe plusieurs exemples concrets utilisant cette méthode d’ingénierie affective Kansei :

 

La fabrication de l’automobile Mazda

http://www.microsoft.com/canada/fr/casestudies/mazda.mspx

Mazda, paru le 01 avril 2003

Mazda Canada démarre en trombe grâce à une solution d’entreprise fondée sur les produits Microsoft

Présentation de la société

Lorsque le président de Mazda Canada Inc. a chargé son groupe de travail Web de mener à bien le plus imposant projet Web de toute l’histoire de la société, le groupe a recommandé une solution d’entreprise fondée sur les produits Microsoft pour atteindre les objectifs ambitieux du projet. La gérabilité des logiciels MicrosoftMD a facilité la gestion de ce projet de très grande envergure et a permis de réduire le délai de mise en ouvre. La fiabilité de la plate-forme choisie a fourni aux concessionnaires et aux clients un accès sans faille à l’information. De plus, l’extensibilité inhérente aux logiciels Microsoft a permis de garantir que la solution sera en mesure de répondre aux besoins futurs. En 1968, Mazda Canada Inc. (Mazda), une filiale de Mazda Motor Corporation de Hiroshima, au Japon, a lancé son premier modèle au Canada. La société, qui a établi son siège social à Scarborough et des bureaux régionaux à Montréal et à Vancouver, offre des services de soutien à la vente et de marketing, un service à la clientèle ainsi qu’un centre de distribution de pièces pour appuyer son réseau de 150 concessionnaires franchisés indépendants.  Toutes les activités de Mazda reposent sur la philosophie de l’ingénierie Kansei, qui intègre les opinions, les sentiments et les émotions des acheteurs dans le processus de conception des véhicules. Une fois les automobiles fabriquées, Mazda mise sur la combinaison gagnante que constitue un réseau de concessionnaires branchés et un service aux propriétaires exceptionnel pour continuer à satisfaire les conducteurs canadiens (qui ont été 69 000 à opter pour un véhicule Mazda l’an passé seulement).

 

www.mazda.ca

 

Les produits de beauté et les soins esthétiques

http://www.lvmhrecherchesymposium.com/documents/uploaded/Symposium_cosmetiques_emotions/Resume_conferences_9sept2009_FR.pdf

Fichier PDF de 44 pages (1 123 Ko).

LVMH Recherche Symposium IX

Cosmétiques, Emotions & Image de Soi

22 Septembre 2009

Paris, France

Résumés des Conférences

 

Extraits du document à la page 34:

 

Ingénierie émotionnelle

La dernière décennie a vu un infléchissement du discours sensoriel vers la problématique des émotions. Certaines études très récentes [7] montrent la perplexité des chercheurs face aux incohérences de certaines évaluations sensorielles quand l’émotion est en jeu. Durant la présentation, on balisera le champ de l’ingénierie et du design émotionnels en s’appuyant sur divers modèles, dont celui de Desmet [5], et on examinera quelques exemples de « Kansei Engineering » appliqué à différents matériaux et domaines dont la cosmétique. Enfin, on donnera un aperçu du mode opératoire que nous suivons et des outils que nous utilisons pour traiter ces questions sous l’angle particulier des archétypes et de la similarité. 34

 

Les matériaux, générateurs d’émotions ?

De ce qui précède il découle qu’en matière d’émotion les matériaux peuvent se révéler « sujets » ou « objets » selon qu’ils génèrent des stimuli ou qu’ils sont le miroir de notre paysage mental. Après avoir tenté de définir les relations entre attributs des stimuli et émotions, la présentation envisagera les diverses manières dont les matériaux peuvent affecter les émotions : stimuli activant des mécanismes neurophysiologiques (effets visuels des produits de maquillage qui seront détaillés tout particulièrement, effets tactiles des matériaux texturés mais aussi des cheveux), matériaux vecteurs de médiateurs chimiques (produits dits « neurocosmétiques ») à base de substances naturelles stimulant la production d’endorphines, matériaux support d’activité valorisante (produits à « construire » soi-même selon l’adage anglo-saxon « turn the lemon into lemonade »), matériaux générateurs d’images mentales (produits de vinothérapie), matériaux véhiculant divers types de valeurs (chocolats « à l’or fin », ingrédients d’appellation contrôlée, ingrédients « équitables »), et matériaux générateurs de surprises bonnes ou mauvaises (incohérences sensorielles voulues ou non, perceptions instables ou variables…).

 

 

Il y a même une thèse de doctorat de 244 pages en relation avec ce sujet qu’est l’ingénierie affective:

 

http://pastel.paristech.org/2196/01/MemoireDeThesedeRouvray.pdf

Fichier PDF de 244 pages (4 040 Ko).

École doctorale n° 432 : Sciences des Métiers de l’Ingénieur

T H È S E par Alexandre de ROUVRAY

Le 22 décembre 2006

INTEGRATION DES PREFERENCES EMOTIONNELLES ET SENSORIELLES DANS LA CONCEPTION DE PRODUITS D’AMEUBLEMENT : PROPOSITION D’UNE METHODE D’INGENIERIE AFFECTIVE

 

 

http://graduateschool.paristech.org/these.php?id=1956

Intitulé de la thèse : Intégration des préférences émotionnelles et sensorielles dans la conception de produits d’ameublement: proposition d’une méthode d’ingénierie affective


Résumé : Notre recherche s’inscrit dans le cadre de l’innovation anthropocentrée. Après avoir souligné les limites des approches existantes centrées sur l’ergonomie et l’usage, nous insistons sur la nécessité de prendre en compte les facteurs de plaisir du consommateur, en d’autres termes la réaction affective du consommateur au produit. Nous présentons le rôle respectif des cinq modalités sensorielles dans la perception du produit, avant de définir les composantes de la réaction affective du consommateur. Nous posons finalement la question suivante: comment prendre en compte la réaction affective des consommateurs dans le processus de conception de produits ? Nous inscrivons notre recherche dans le cadre de l’ingénierie affective, ensemble de méthodes dont l’objectif est d’établir des relations entre la perception subjective des consommateurs et les attributs concrets d’un produit industriel. Nous présentons un état de l’art critique des méthodes d’ingénierie affective existantes: l’ingénierie Kansei, les approches émotionnelles, les approches sémantiques, l’évaluation sensorielle. Nous postulons que toute approche d’ingénierie affective se doit de prendre en compte trois types de données: les attributs concrets du produit, les valeurs des consommateurs, la réaction affective des consommateurs. Notre problématique est la suivante: comment concevoir une méthode d’ingénierie affective, abordable en terme de coût de mise en oeuvre par les entreprises de l’ameublement, et permettant de mettre en évidence les attributs concrets critiques de l’espace produit ? Nous proposons un modèle permettant d’expliciter l’influence des attributs concrets critiques sur la perception du consommateur. La méthode que nous proposons est centrée sur deux épreuves successives: la catégorisation libre et le classement hédonique. Nous formulons trois hypothèses: la catégorisation libre et le classement hédonique permettent de mettre en évidence les attributs concrets critiques, les valeurs associées, et la réaction affective du consommateur

 

Extraits de la thèse, à la page 74:

 

Qu’est-ce que le Kansei?

 

3.4.1. Qu’est-ce que le Kansei ?

Le terme Kansei est difficilement traduisible en français dans la mesure où il correspond à un concept intimement lié à la culture japonaise (Schütte, 2005). Selon Nagamachi (2001), le Kansei est l’impression subjective qu’un individu a d’un produit, d’un environnement ou d’une situation, au travers de ses sens. Le terme « impression subjective » fait référence à l’ensemble des composantes de la perception humaine : la sensibilité, la signification, la sensation, les sentiments, l’esthétique, l’émotion, l’affectif, et l’intuition (Lee et al., 2002) – ainsi ce n’est pas la sensation brute, mais également son impact émotionnel, hédonique et sa signification, bref l’ensemble de ce que nous désignons par la réaction affective.

 

3.4.2. Le principe de l’ingénierie Kansei

L’ingénierie Kansei est une méthode permettant de formaliser les besoins affectifs du consommateur et de construire des modèles de prédiction mathématique expliquant comment ces besoins affectifs sont corrélés à des attributs concrets du produit (Schütte, 2005). Nagamachi (2001) distingue six différents types d’ingénierie Kansei57, différant entre eux par le niveau d’intégration des outils informatiques (c’est à dire les bases de données de mots Kansei et de représentations d’attributs concrets), la sophistication des modèles de prédiction mathématique utilisés ou encore le recours à des outils de réalité virtuelle.

 

L’ingénierie Kansei peut être utilisée dans deux directions (Nagamachi 1995, 2002) (figure20) :

– Prenant comme point de départ le désir du consommateur, exprimé par un profil affectif, l’ingénierie Kansei permet de générer des produits correspondant à un tel profil.

– Prenant comme point de départ un produit (ou un prototype), l’ingénierie Kansei permet de générer le profil affectif du produit.

 

3.4.3. Bilan sur l’ingénierie Kansei

L’ingénierie Kansei est une illustration de la mise en oeuvre d’une approche d’ingénierie affective, combinant les trois types de tâches que nous avons énoncées comme étant constitutives de ce type d’approche :

– la caractérisation des attributs concrets de l’espace produit

– la caractérisation des valeurs du consommateur

– la mesure de la réponse affective du consommateur

 

Soulignons cependant les lacunes de cette approche par rapport à notre problématique :

 

3.4.3.1. Une démarche lourde et complexe

L’ingénierie Kansei est une méthode dont l’apprentissage est long est complexe, et qui nécessite la mise en oeuvre de moyens considérables (traitement statistique des données, mise au point de modèles de prédiction mathématique, utilisation de bases de données, etc.) au cours d’une période de temps significative.

 

3.4.3.1.1. Générer les bases de données de mots Kansei et de produits

Il existe beaucoup de questions de confidentialité autour de l’ingénierie Kansei, les entreprises préservant jalousement les « mots Kansei », c’est à dire la liste des descripteurs émotionnels et sémantiques à même de caractériser la réponse affective des consommateurs. Ainsi toute entreprise désirant mettre en oeuvre une démarche d’ingénierie Kansei doit s’attendre à un long travail préparatoire :

– Générer les descripteurs sémantiques et émotionnels appropriés à l’espace produit (ou aux espaces produits) dans lequel l’entreprise inscrit son offre.

– Construire et enrichir progressivement des bases de données de produits, sous la forme de produits réels, de photos ou d’images de synthèse.

 

Une des grandes forces de l’ingénierie Kansei est ainsi la capitalisation sur le long terme : en effet, en enregistrant dans des bases de données les relations observées entre attributs concrets du produit et réponse affective du sujet, on peut développer un outil informatique permettant de générer, à partir des formes d’un produit, les émotions qu’elles sont susceptibles de provoquer, et inversement.

 

3.4.3.1.2. Incompatibilité culturelle

Nous avons souligné la difficulté d’une traduction du mot Kansei dans une langue occidentale. Ceci met en lumière un frein majeur à l’appropriation de l’ingénierie Kansei par les entreprises occidentales : l’opacité culturelle de la méthode. Ainsi Schütte (2005) souligne que les ingénieurs ont du mal à comprendre le concept de Kansei, le considérant comme ambigu et contraire à la raison.

 

3.4.3.2. Une définition arbitraire des attributs concrets du produit les plus pertinents

Comme l’ensemble des approches d’ingénierie affective que nous avons recensées, l’ingénierie Kansei n’offre pas de solution pour identifier les « attributs concrets critiques » de l’espace produit. Alors que la recherche des mots Kansei et la définition du Kansei idéal sont des tâches appuyées par des modèles théoriques solides (telles que la technique de Différentiel Sémantique d’Osgood (Osgood et Suci, 1969)), la recherche des attributs concrets du produit les plus pertinents et ayant le plus d’influence sur la réponse affective du consommateur est, quant à elle, dénuée de tout encadrement théorique (Schütte, 2005).

 

Ainsi le choix des attributs concrets à faire varier est fait de façon intuitive ou selon l’expertise du concepteur. Or la sélection et l’identification des attributs concrets du produit est une étape essentielle de l’ingénierie Kansei (Nagasawa, 2002b). En l’absence d’une démarche systématique d’identification des attributs concrets, Schütte (2005) souligne qu’en pratique ceux-ci sont imposés par l’entreprise partenaire de l’étude ou même sélectionnés au hasard ! Dans l’essentiel des cas, la sélection des attributs concrets du produit est faite en fonction de considérations pratiques, notamment la possibilité de trouver des produits existants possédant les attributs concrets en question (Kanda, 2002).

 

Ainsi il n’est pas possible de garantir que les attributs concrets sélectionnés sont réellement pertinents par rapport à la perception du consommateur. Schütte (2005) souligne qu’il est nécessaire de pouvoir hiérarchiser les attributs concrets du produit en fonction de leur incidence sur la perception du consommateur – malheureusement il n’existe pas de méthode appropriée à cette tâche. Schütte (2005) propose de sélectionner les attributs concrets du produit à étudier par un processus structuré en trois étapes, s’inspirant du processus de sélection des mots Kansei 61. Mais cette démarche reste à valider, et semble coûteuse, complexe et longue à mettre en oeuvre.

 

Autres liens :

http://www.affordance.eu/#/liens/3086448

Design et créativité

Voir la vidéo : Démonstration de la REACTABLE, interface tangible de création musicale

Blog du prof geek avec tutoriels de format vidéo

Publié 30 juin 2009 par ginettelavigne

 

http://gely.info/profgeek/creer-un-site-denseignant/

 

 J’ai découvert ce site remarquable, qui par sa clarté d’expression et ses démonstrations sous forme de vidéo, est une vraie mine d’or de savoir-faire. L’auteur, Fabrice Gély, est un as dans la façon d’expliquer comment se servir des TICE (Technologie de l’Information et des Communications en Éducation). Professeur et « geek » de l’informatique, son blog et les sites qu’il propose regorgent de ressources Web, d’exemples et d’informations dans plusieurs domaines comme le démontre les rubriques suivantes :

·         Rubriques

o        Bureautique

o        Histoire-géographie

o        Langues

o        Les fondamentaux

o        Lettres

o        Mathématiques

o        Sciences de la vie et de la terre

o        Sciences physiques

o        Toutes disciplines

 

F. Gély, nous présente l’article suivant :

Créer un site d’enseignant

Le blog du prof geek propose différents tutoriels permettant de créer facilement un site d’enseignant, d’y poster des fichiers, d’y ajouter un cahier de textes en ligne…

Nous vous recommandons les suivants:

Créer son site web en quelques minutes

Un cahier de textes sur internet… en quelques clics

Enfin, pour ajouter des images d’une manière respectueuse :

Des banques d’images sans souci, les licences Creative Commons

Pour ceux que cela intéresse, voir aussi l’article Comment créer un vidéoblog (pédagogique)

 

Il y a longtemps que je cherche des tutoriels qui nous enseignent comment procéder de A à Z pour faire un site fonctionnel et M. Gély nous l’offre gratuitement en toute générosité. Je le remercie grandement et le félicite pour son site très utile et exceptionnel.

L’intelligence collective

Publié 31 octobre 2008 par ginettelavigne

 

Service de Veille scientifique et technologique     http://www.inrp.fr/vst

 

Je suis abonnée gratuitement aux actualités de la VST du site inrp.fr, ce qui me permet de recevoir :

 

·          Tous les mois, un Dossier d’actualité (10 à 20 pages), une synthèse autour d’un thème d’actualité de la recherche en éducation
(
voir les thèmes déjà traités).

·          Tous les quinze jours, le sommaire VST actualités des nouveaux signalements effectués dans les rubriques : livres, numéros de revues, rapports, colloques, thèses, ressources repérées ; derniers billets rédigés dans le blog…
(
voir un exemple des derniers signalements en cours).

 

Pour vous abonner : http://www.inrp.fr/vst/LettreVST/Abonnement.htm

 

J’ai donc trouvé dans la rubrique « Ressources audiovisuelles » :

 

Internet et l’intelligence collective – Comment Internet a remodelé le partage de la connaissance (19-05-2007) – Université populaire de Tence.

 

Écoutez la conférence de 115 minutes :

 

http://wmaker.net/univpop/index.php?action=article&numero=58

 

 

Une conférence donnée par Mehdi Gharsallah , le 19 mai 2007.

Blogs, signets, Wiki, social bookmarks, Web 2.0 … : autant de notions et d’applications qui ont fait une entrée en force dans notre environnement quotidien. Mais quelle réalité recouvrent-elles ? Et sur quels principes de l’Internet reposent-elles ? Mehdi Gharsallah nous expliquera en quoi elles s’appuient sur la synergie et l’intelligence des réseaux, quand "1+1 = 3". Et s’il nous proposera un voyage stimulant à travers ces nouveaux mondes, il en soulignera aussi les limites, quand par exemple les effets de groupe produisent plutôt de l’erreur collective..

Avec l’aimable autorisation de l’Université Populaire de Tence.

 

 

Extrait de l’article de Rémi Thibert du 23 octobre 2008, Internet et l’intelligence collective : une conférence de Mehdi Gharsallah :

 

http://www.inrp.fr/blogs/vst/index.php/2008/10/23/internet_et_l_intelligence_collective_un_3

 

[…] Mehdi Gharsallah présente une typologie des intelligences collectives. Il en distingue 3 types :

  • L’intelligence collective originelle, qui consiste à mettre en commun plusieurs intelligences individuelles de manière organisée. Il faut qu’il y ait une proximité spatiale entre les acteurs, un contrat social, et une architecture qui peut être polymorphe. C’est ce qui se passe dans un match de football, par exemple, ou lors d’une réunion de travail. Cette intelligence fonctionne sur une économie du don (l’échange n’est pas marchand).
    Elle est limitée dans l’espace et le nombre de personnes concernées.
  • L’intelligence pyramidale, qui arrive avec l’invention de l’écriture. On y développe les expertises (les métiers), on se spécialise. Cette intelligence repose sur la division du travail, la division de l’accès à l’information, et sur un principe d’autorité (il y a un chef). A la différence de la première intelligence, celle-ci fonctionne sur le principe de rareté de la monnaie (ma participation a une valeur marchande), et impose des normes.
    Cette intelligence ne sait pas gérer la complexité.
  • L’intelligence en essaim, qui peut être comparée à ce qui se passe dans une ruche d’abeilles. Les individus sont « stupides » à leur niveau (ils n’ont pas une vision cohérente de l’ensemble), mais le collectif devient intelligent. Chaque individu n’a pas la conscience de ce qu’il fait, le projet global n’est pas programmé. Ce modèle est émergent, notamment dans la sphère économique.
    Cette intelligence n’a pas de limite, sait gérer la complexité, mais sacrifie l’individu.

Mehdi Gharsallah souhaiterait qu’il existe un quatrième modèle, proche de l’intelligence collective, mais qui ne soit pas marchand, et qui ne sacrifie pas l’individu.

Internet pourrait-il être utilisé pour créer de l’intelligence collective ? Il estime que Internet a concrétisé des utopies des années 1970 : le partage des connaissances, la gratuité, le village global, et la non hiérarchisation. Cette révolution a amené, rappelle-t-il, l’hypertextualité, l’interactivité et la connectivité (devenue quasi permanente, à tel point qu’il semble difficile de « déconnecter »).
Toutes ces innovations permettent de créer de la connaissance, même si celle-ci est sujette à caution. Le pari est de transformer cette connaissance en intelligence. Il défend l’idée que le fait de connecter les êtres humains entre eux suffit à créer plus d’intelligence. Il prend l’exemple de projets tels que Wikipédia ou dmoz (annuaire de recherche dont le contenu est élaboré par les internautes), où chacun peut amener sa pierre à l’édifice. Bien sûr, il faut toujours avoir à l’esprit que l’erreur fait partie de la nature humaine, et ne pas prendre pour argent comptant ce que l’on trouve. Le web dit « web social » ou encore « web nouvelle génération », avec les mondes virtuels, les différents réseaux sociaux (comme le social bookmarking : mise en réseaux des marque-pages de chacun) participent de cette évolution.

Il semblerait qu’Internet soit un outil qui permet le développement d’une intelligence collective. Chacun peut y contribuer, et l’évolution du web laisse à penser que la participation sera de plus en plus importante.

Exemple d’une expérience personnelle

Je connaissais bien le site Wikipédia, par contre, Rémi Thibert et Mehdi Gharsallah m’ont fait découvrir dmoz (annuaire de recherche dont le contenu est élaboré par les internautes). Grâce à ce lien dans l’article de Rémi, je suis allée sur le site dmoz, j’ai choisi Emploi, puis CV, Canada, Québec, j’ai décidé de regarder le CV de Potvin, André-Claude pour arriver à découvrir son mémoire de maîtrise :

 

L’apport des récits cyberpunk à la construction sociale des technologies du virtuel

 

http://www3.sympatico.ca/acpotvin/maitrise.html

Mémoire de maîtrise :

Ce mémoire de maîtrise s’inscrit dans la sociologie des innovations et s’intéresse aux anticipations d’usages et d’usagers des technologies du virtuel, regroupées souvent sous le terme-chapeau «réalité virtuelle». Ces nouvelles technologies de communication peuvent être comprises en tant qu’espaces médiatiques et espaces de socialisation.

Les anticipations proposées par la littérature de science-fiction dite cyberpunk forment le corpus de cette recherche. L’auteur postule que les écrivains de science-fiction (et leurs textes) sont des acteurs dans la construction sociale des innovations, par un processus de «médiation culturelle».

Les approches théoriques utilisées par l’auteur pour construire son appareil analytique sont le diffusionnisme et le constructivisme, les cultural studies, la cyberanthropologie et quelques travaux sur la présence virtuelle.

Le corpus de sept (7) nouvelles cyberpunk, retenues pour leur représentativité du genre, a subi une analyse textuelle. Les données recueillies ont permis de développer une analyse approfondie des anticipations d’usages et d’usagers, situées entre les modèles de l’inscription et de l’incorporation.

Le héros cyberpunk, dans son usage des technologies du virtuel, révèle une nouvelle subjectivité, qui transcende les dychotomies homme-machine, et qui résiste à tout déterminisme avec une attitude résolument punk.

 

Conclusion personnelle

 

Ce sujet de maîtrise d’André-Claude Potvin va plus loin que le simple fait du développement d’une intelligence collective par l’utilisation des nouvelles technologies. Par contre, il souligne lui aussi le fait que ces nouveaux espaces médiatiques et de socialisation partagés virtuellement  produisent le déploiement d’effets réels sur la société comme la provocation, la subjectivité, l’inspiration, la créativité, etc.

 

Moi-même, Ginette Lavigne, ayant étudiée pendant 4 ans sur les TI (Technologie de l’information) tout en essayant de décortiquer les représentations du Web, j’en suis arrivée à la conclusion que le réseau favorise le développement de l’intelligence collective. Mais, à cause de la facilité de l’usage des outils, comme le blog par exemple, le tout s’en trouve accentué par la participation de plus en plus active de la masse populaire.

 

Mon projet d’application était comme suit :

 

Projet d’application comme exigence partielle de la maîtrise en technologie de l’information (Novembre 2007) :

Étude sur les blogs et expérimentation de pratique de blogging dans un contexte éducatif.

http://blogcollaboratifd-essai.blogspirit.com/archive/2007/11/29/rapport-sur-les-blogs.html

 

Enfin, je tenterai de montrer que le blog n’est pas un simple outil, mais bel et bien un média interactif en évolution vers un univers de plus en plus collaboratif. Il permet aux gens d’entrer, non seulement en relation les uns avec les autres par l’interactivité, mais il les conduit dans un gigantesque environnement informationnel, tissé par un réseau d’intelligence collective. Un rapport probant qui se dessine entre humains et machines, que certains appellent même une plateforme collaborative. [Page 52]

Finalement, bien qu’aucun lien direct ne relie André-Claude Potvin, Rémi Thibert, Mehdi Gharsallah et Ginette Lavigne, nous nous sommes rejoints intellectuellement par la connaissance d’un sujet similaire grâce au réseau Web. Nous partageons des idées, des perceptions et des données que nous communiquons virtuellement à la masse des internautes intéressés qui finissent par avoir des répercussions concrètes sur la société par l’intermédiaire de l’intelligence collective des individus qui y participent.

L’usage des TICE dans l’enseignement

Publié 30 septembre 2008 par ginettelavigne

 

En furetant sur le Web, je suis tombée sur un blog des plus interactifs et accessibles par ses fonctions explicatives intégrées dans la page du site (ex. : bulles descriptives ou illustrations) et l’ajout de plusieurs boutons du Web 2.0 (Netvibes, Wikio, Technorati, etc.). Je me suis alors empressée de le sauvegarder dans mes favoris delicious pour éventuellement vous le faire connaître. Il s’agit du blog CHRONIQUE ÉDUCATION, dont l’auteur est Philippe Watrelot, professeur de Sciences Economiques et Sociales dans un lycée de l’Essonne . Professeur (temps partagé) à l’IUFM de Paris Président du CRAP-Cahiers Pédagogiques

 

 

 

http://philippe-watrelot.blogspot.com/2006/11/revue-de-presse-du-mardi-31-octobre-au.html

Chronique Éducation

Une revue de presse des quotidiens français sur le thème de l’éducation.
Des réflexions personnelles sur l’école et son évolution
.

L’actualité du CRAP et des Cahiers pédagogiques

Liens

 

Dans ses liens, il mentionne le carnet de Mario Asselin.

http://carnets.opossum.ca/mario/

 

J’ai trouvé l’article de Mario Asselin (29 août 2008) suivant : LA FORMATION DES ENSEIGNANTS AUX TICE

 

http://carnets.opossum.ca/mario/archives/2008/08/la_formation_des_enseignants_aux_tice_ludovia.html

 

Et M. Asselin, dans cet article, écrit à propos de l’utilisation du blog par les enseignants :

 

Le prochain intervenant (Vincent Olivier du WebPédagogique) a abondamment parlé de l’utilisation des blogues par les enseignants. Son équipe de six personnes est très fière des 20 000 inscrits et des 4 500 profs qui ont ouvert un blogue. Sans être nécessairement «opérateur de formation», il est fasciné de voir les profs s’engager dans un parcours de formation avec beaucoup de motivation: «ils veulent être bon prof, bien s’occuper de leurs élèves.» Il fait le constat que «la moitié des jeunes ont un SkyBlog et que l’écriture SMS commence à avoir un réel impact, alors il n’est pas surpris de voir que des profs s’adaptent au nouveau «rapport avec la connaissance» que les jeunes entretiennent. Plusieurs profs arrivent à faire des choses extraordinaires puisque les capacités des profs du point de vue technique cadrent bien avec la pratique du blogue. En bloguant (et faisant bloguer), ils ont l’impression de trouver une réponse à ce qui doit être fait pour capter les énergies disponibles des élèves en classe. Le prof rend souvent disponible ce qu’il fait et ce qu’il pense. Entre pairs, il y a beaucoup de réponses à trouver… assez vite, assez loin avec peu de moyens. Le blogue devient donc ce moyen de se lancer dans le numérique. Le blogue a des vertus pédagogiques selon Vincent Olivier:

 

·          C’est un vrai outil Web avec lequel élèves et profs peuvent s’investir.

·          C’est un outil parmi les plus simples.

·          Le blogue privilégie un format de publication qui incite à l’hypertexte ce qui contribue à la transmission de la connaissance.

·          Le blogue est conversationnel; c’est facile entre parents/profs et élèves de communiquer par cet outil.

 

Lire l’article intégral à l’adresse suivante :

 

http://carnets.opossum.ca/mario/archives/2008/08/la_formation_des_enseignants_aux_tice_ludovia.html